Erik De Lorenzi
Stages - cohorte 2025/2026, Toronto
Faculté de droit
University of TorontoFormation
University of CambridgeQueen’s University
La formation d’Erik en finance, en politique publique et en politique l’a préparé à une carrière de conseiller stratégique.
Erik est impatient de mettre à profit sa formation universitaire pour le guider dans les processus d’approbation complexes sur le plan réglementaire, notamment dans le contexte des fusions et acquisitions et des investissements étrangers.
Pendant ses études de droit, Erik a remporté plusieurs prix, notamment celui de meilleur étudiant en droit des valeurs mobilières. Il sera auxiliaire juridique du juge David W. Stratas de la Cour d’appel fédérale en 2026-2027.
Qu’est-ce qui vous a le plus surpris à propos de Davies pendant le processus d’entrevue?
Davies est une véritable société de personnes. La petite taille du cabinet (environ 250 avocats) lui permet de se démarquer de ses pairs. J’ai été surpris de constater que tous les avocats que j’ai rencontrés se connaissent bien et collaborent souvent à des dossiers, même lorsqu’ils exercent dans des domaines du droit a priori différents et indépendants.
Pourquoi avez-vous choisi de travailler chez Davies?
Pour deux raisons. Premièrement, le cabinet est profondément et visiblement engagé dans la recherche de l’excellence. Davies m’offre la plateforme idéale pour développer mes compétences juridiques et me permettre de participer très tôt aux mandats les plus intéressants et les plus complexes. Deuxièmement, le modèle généraliste du cabinet. Mes intérêts professionnels sont variés. Davies s’engage à permettre aux étudiants ayant l’esprit d’entreprise d’explorer leurs intérêts et de travailler dans un large éventail de domaines et avec des avocats en particulier, ce qui est une approche très attrayante et unique au sein des cabinets d’avocats.
Parlez-nous d’un organisme qui compte beaucoup pour vous en expliquant pourquoi. Quel rôle y jouez-vous?
Le Conseil canadien des aveugles. Le Conseil offre des programmes formidables aux Canadiennes et aux Canadiens ayant une déficience visuelle. Mon grand-père et mon père sont tous deux aveugles. Pendant des années, mon père a joué un rôle de premier plan au sein de la section torontoise des « visionnaires » (Visionaries) du Conseil, et j’ai eu la chance de jouer un rôle beaucoup plus modeste en soutenant les efforts de collecte de fonds de leur groupe.