Ryan a choisi le droit parce que c’est un domaine alliant l’art et la science : il trouve son fondement dans les règles de conduite et de procédure, mais il nécessite également de la créativité et une intelligence émotionnelle.

Au cours de ses études à McGill, Ryan a obtenu le prix commémoratif Laddie Millen, décerné à l’étudiant·e qui termine en première position dans le programme en gestion des relations de travail et ressources humaines.

Y a-t-il un domaine de pratique ou un secteur d’activité qui vous intéresse particulièrement?

Le litige m’intéresse beaucoup, de même qu’une pratique générale en droit des sociétés. J’aime résoudre des problèmes, présenter des solutions et échanger des idées. Je me considère comme calme sous pression, et l’idée d’une salle d’audience suscite chez moi bien plus d’exaltation que de nervosité.

Si vous n’aviez pas choisi le droit, quelle avenue professionnelle auriez-vous empruntée?

Avec tout le respect que je dois à Kyle Dubas, à Mark Shapiro et à Masai Ujiri, je me verrais occuper un poste de direction pour l’une des principales équipes sportives de Toronto. Je pense que ce type de postes constitue un casse-tête fascinant reposant sur un éventail de décisions opérationnelles, commerciales et personnelles.

Qui admirez-vous le plus?

Mon grand-père. Il a quitté la maison à un jeune âge pour apprendre un métier et ainsi subvenir aux besoins de sa famille. Il a ensuite eu le courage et la force de quitter l’Équateur pour bâtir sa vie et celle de sa famille au Canada. Il est un bijoutier d’expérience, d’une gentillesse à toute épreuve et m’offre le meilleur soutien qu’un jeune homme puisse demander.

• Partager
• Télécharger
• Imprimer